Plantation dans les Nouvelles de Versailles

Après le reportage de TVFIL78 du mardi 1er décembre, ce sont les Nouvelles de Versailles qui font paraître un article dans l'édition du mercredi 2 décembre:

Journée de Plantation sur TVFIL78

Sous le titre: " GUYANCOURT: l'ONF va reverdir l'ancienne base nautique", la Télé locale TVFIL78 a diffusé dans la journée de mardi 1er décembre dans son journal d'actualité un petit reportage de 1'30 sur notre journée de plantation. Des images très sympa tournées par Floriane Parfait qui nous a rejoint dés 9h samedi matin avant de filer à la Verrière pour une autre opération sur la nature pour les terres agricoles avec Terre & Cité.
Film en Replay ici.

Magnifique Plantation de Jeunes Chênes avec l'ASEM et l'ONF

150 jeunes chênes, 25 charmes et 25 pins ont été plantés ce matin même sur le site de l'ancienne base nautique en forêt de la Minière.
18 personnes de l'ASEM ont participé à la plantation. Trous à la pioche (sol difficile et très caillouteux), mise en terre du précieux plant, enfoncement du piquet à la masse, mise en place du fourreau de protection et enfin agrafage. Le tout en 4 heures.
La surface de 750m² était depuis 40 ans réservée à la base nautique et donc dépourvue de végétation. Cette réhabilitation prendra plusieurs années avant de voir ce petit bout de forêt reverdir et grandir.
L'ASEM est extrémement fière d'avoir participé, grâce au soutien et l'aide indispensable de l'ONF, à cette action importante et symbolique à l'aube de la COP21.
L'ASEM apporte ainsi sa pierre à l'édifice qui se présente à la planète toute entière: l'environnement, préoccupation numéro 1 des Hommes, ou leur disparition.

Lien photos.

200 plants en une matinée

L'ASEM va planter des arbres (7/7)

S'inspirant d'Elzéard Bouffier, cet homme qui plantait des arbres, raconté par Jean Giono, l'ASEM va planter des arbres le 28 Novembre prochain.

Voici l'épilogue de cette histoire extraordinaire. 

Quand je réfléchis qu’un homme seul, réduit à ses simples ressources physiques et morales, a suffi pour faire surgir du désert ce pays de Chanaan, je trouve que, malgré tout, la condition humaine est admirable. Mais, quand je fais le compte de tout ce qu’il a fallu de constance dans la grandeur d’âme et d’acharnement dans la générosité pour obtenir ce résultat, je suis pris d’un immense respect pour ce vieux paysan sans culture qui a su mener à bien cette œuvre digne de Dieu.

L'ASEM va planter des arbres (6/7)

S'inspirant d'Elzéard Bouffier, cet homme qui plantait des arbres, raconté par Jean Giono, l'ASEM va planter des arbres le 28 Novembre prochain.
D'ici là, cette histoire extraordinaire sera relayée chaque semaine sur notre site web. Merci à Jean Giono, mais merci surtout à Elzéard Bouffier.

1945

Le car me débarqua à Vergons. En 1913, ce hameau de dix à douze maisons avait trois habitants. Ils étaient sauvages, se détestaient, vivaient de chasse au piège : à peu près dans l’état physique et moral des hommes de la Préhistoire. Les orties dévoraient autour d’eux les maisons abandonnées. Leur condition était sans espoir. Il ne s’agissait pour eux que d’attendre la mort : situation qui ne prédispose guère aux vertus.

Tout était changé. L’air lui-même. Au lieu des bourrasques sèches et brutales qui m’accueillaient jadis, soufflait une brise souple chargée d’odeurs. Un bruit semblable à celui de l’eau venait des hauteurs : c’était celui du vent dans les forêts. Enfin, chose plus étonnante, j’entendis le vrai bruit de l’eau coulant dans un bassin. Je vis qu’on avait fait une fontaine, qu’elle était abondante et, ce qui me toucha le plus, on avait planté près d’elle un tilleul qui pouvait déjà avoir dans les quatre ans, déjà gras, symbole incontestable d’une résurrection.

C’était désormais un endroit où l’on avait envie d’habiter. Si on compte l’ancienne population, méconnaissable depuis qu’elle vit avec douceur et les nouveaux venus, plus de dix mille personnes doivent leur bonheur à Elzéard Bouffier. 

L'ASEM va planter des arbres (5/7)

S'inspirant d'Elzéard Bouffier, cet homme qui plantait des arbres, raconté par Jean Giono, l'ASEM va planter des arbres le 28 Novembre prochain.
D'ici là, cette histoire extraordinaire sera relayée chaque semaine sur notre site web. Merci à Jean Giono, mais merci surtout à Elzéard Bouffier.

1920

Les chênes de 1910 avaient alors dix ans et étaient plus hauts que moi et que lui. Le spectacle était impressionnant. Nous passâmes tout le jour en silence à nous promener dans sa forêt. Elle avait, en trois tronçons, onze kilomètres de long et trois kilomètres dans sa plus grande largeur. Quand on se souvenait que tout était sorti des mains et de l’âme de cet homme – sans moyens techniques –, on comprenait que les hommes pourraient être aussi efficaces que Dieu dans d’autres domaines que la destruction.

La création avait l’air, d’ailleurs, de s’opérer en chaînes. Il ne s’en souciait pas ; il poursuivait obstinément sa tâche, très simple. Mais en redescendant par le village, je vis couler de l’eau dans des ruisseaux qui, de mémoire d’homme, avaient toujours été à sec. C’était la plus formidable opération de réaction qu’il m’ait été donné de voir.

L'ASEM va planter des arbres (4/7)

S'inspirant d'Elzéard Bouffier, cet homme qui plantait des arbres, raconté par Jean Giono, l'ASEM va planter des arbres le 28 Novembre prochain.
D'ici là, cette histoire extraordinaire sera relayée chaque semaine sur notre site web. Merci à Jean Giono, mais merci surtout à Elzéard Bouffier.

Depuis trois ans il plantait des arbres dans cette solitude. Il en avait planté cent mille. Sur les cent mille, vingt mille était sortis. Sur ces vingt mille, il comptait encore en perdre la moitié, du fait des rongeurs ou de tout ce qu’il y a d’impossible à prévoir dans les desseins de la Providence. Restaient dix mille chênes qui allaient pousser dans cet endroit où il n’y avait rien auparavant.

Je lui dis que, dans trente ans, ces dix mille chênes seraient magnifiques. Il me répondit très simplement que, si Dieu lui prêtait vie, dans trente ans, il en aurait planté tellement d’autres que ces dix mille seraient comme une goutte d’eau dans la mer.

L'ASEM va planter des arbres (3/7)

S'inspirant d'Elzéard Bouffier, cet homme qui plantait des arbres, raconté par Jean Giono, l'ASEM va planter des arbres le 28 Novembre prochain.
D'ici là, cette histoire extraordinaire sera relayée chaque semaine sur notre site web. Merci à Jean Giono, mais merci surtout à Elzéard Bouffier.

Il me sembla apercevoir dans le lointain une petite silhouette noire, debout. C’était un berger. Une trentaine de moutons couchés sur la terre brûlante se reposaient près de lui. Il me fit boire à sa gourde et, un peu plus tard, il me conduisit à sa bergerie, dans une ondulation du plateau.

Le berger alla chercher un petit sac et déversa sur la table un tas de glands. Il se mit à les examiner l’un après l’autre avec beaucoup d’attention, séparant les bons des mauvais.

Quand il eut ainsi devant lui cent glands parfaits, il s’arrêta et nous allâmes nous coucher.

La société de cet homme donnait la paix. Je lui demandai le lendemain la permission de me reposer tout le jour chez lui.

Je fis celui qui se promène en se reposant et je suivis une route parallèle à la sienne.

Arrivé à l’endroit où il désirait aller, il se mit à planter sa tringle de fer dans la terre. Il faisait ainsi un trou dans lequel il mettait un gland, puis il rebouchait le trou. Il plantait des chênes.

L'ASEM va planter des arbres (2/7)

S'inspirant d'Elzéard Bouffier, cet homme qui plantait des arbres, raconté par Jean Giono, l'ASEM va planter des arbres le 28 Novembre prochain.
D'ici là, cette histoire extraordinaire sera relayée chaque semaine sur notre site web. Merci à Jean Giono, mais merci surtout à Elzéard Bouffier.

1910, quelque part entre la Drôme et la Durance.

C’étaient, au moment où j’entrepris ma longue promenade dans ces déserts, des landes nues et monotones, vers mille deux cents à mille trois cents mètres d’altitude. Il n’y poussait que des lavandes sauvages.

Je traversais ce pays dans sa plus grande largeur et, après trois jours de marche, je me trouvais dans une désolation sans exemple.

Je campais à côté d’un squelette de village abandonné. Je n’avais plus d’eau depuis la veille et il me fallait en trouver. Ces maisons agglomérées, quoiqu'en ruine, me firent penser qu’il avait dû y avoir là, dans le temps, une fontaine ou un puits. Les cinq à six maisons, sans toiture, rongées de vent et de pluie, étaient rangées comme le sont les maisons dans les villages vivants, mais toute vie avait disparu.

L'ASEM va planter des arbres (1/7)

S'inspirant d'Elzéard Bouffier, cet homme qui plantait des arbres, raconté par Jean Giono, l'ASEM va planter des arbres le 28 Novembre prochain.

D'ici là, cette histoire extraordinaire sera relayée chaque semaine sur notre site web. Merci à Jean Giono, mais merci surtout à Elzéard Bouffier.

Pour que le caractère d’un être humain dévoile des qualités vraiment exceptionnelles, il faut avoir la bonne fortune de pouvoir observer son action pendant de longues années. Si cette action est dépouillée de tout égoïsme, si l’idée qui la dirige est d’une générosité sans exemple, s’il est absolument certain qu’elle n’a cherché de récompense nulle part et qu’au surplus elle ait laissé sur le monde des marques visibles, on est alors, sans risque d’erreurs, devant un caractère inoubliable.

La Minière Maraîchère

Le FORUM OUVERT prévu initialement le 7 Novembre a été transformé en FORUM en PLEIN AIR suite à un manque de soutien de la Mairie (pas de salle). Heureusement il a fait un temps superbe hier samedi et nous avons pu échanger efficacement sur la stratégie :)
On rappelle que grâce à l'action soutenue du Collectif, des 17 associations qui le composent dont l'ASEM, et des guyancourtois, les terres de la Petite Minière à l'ouest de la RD91 restent Terres Agricoles dans le projet de PLUI. L'enquête publique du PLUI sortira au printemps 2016.
Voir http://zonelibre.info/laminieremaraichere/

COMMUNIQUE: l'ASEM et la LIGNE 18

Communiqué de l'ASEM à la SGP:

La position de l'ASEM quant au projet de ligne 18 est la suivante:

L'ASEM, du fait de sa mission de protection du site classé des étangs de la Minière, a une position globalement favorable aux transports collectifs et défavorable à la densification immobilière aux alentours du site. En effet, la progression du trafic routier accroit sans arrêt la demande d'infrastructures et la pollution, tandis que le rapprochement de l'urbanisation jusqu'en bordure du site théoriquement protégé met aussi en péril l'avenir de celui-ci et sa préservation.

Si l'ASEM regrette l'abandon du tracé de contournement qui offrait aux usagers potentiels de SQY une seconde gare, elle a néanmoins accueilli avec soulagement l'abandon de la traversée en viaduc des étangs de la Minière qui aurait eu un impact dramatique sur ce site et n'aurait pas été acceptée par les populations et les collectivités.

Pour ce qui concerne la décision de franchir le site en souterrain, son impact n'étant pas nul, l'ASEM l'accueille avec une extrême réserve, d'autant qu'elle n'a pas obtenu les réponses aux questions posées sur les puits de ventilation touchant le site.

Plus globalement, l'ASEM reste inquiète des conséquences du projet en terme d'urbanisation et de densification des territoires, surtout que cette densification est également désirée par les collectivités locales.

Après avoir pesé les avantages et inconvénients du projet tel que nous le connaissons à ce jour, notre position n'est donc pas, pour le moment, définitivement "pour" ou "contre". Nous sommes néanmoins assez proche de la position de l'association des Amis de la Vallée de la Bièvre (AVB) qui a clairement quant à elle annoncé une position négative notamment à cause de l'urbanisation du plateau de Saclay qui ne pourra que s'accélérer.

Enfin, concernant la concertation que vous avez supervisée, nous avons été assez déçus, comme vous le savez, de n'avoir pas obtenu de la SGP les réponses à toutes nos questions malgré les promesses de dialogue et de réunion qui nous avaient été faites mais qui n'ont pas été tenues par la directrice du projet.

L'ASEM dans LES NOUVELLES DE VERSAILLES !

Edition du 14 Octobre 2015.

De G. à D. sur la photo: Chantal, René, Antonin, Christine et James qui tiennent les pinces, Juliette la poêle à frire, Mathieu la bonbonne de gaz, Jean-Claude, Lucy, Olivier et François.

Pour une Forêt Propre !

L'ASEM organisait aujourd'hui dimanche 11 octobre sa journée de nettoyage aux Étangs de la Minière. 50 personnes environ sont venues prêter main forte à cette opération "Forêt propre".
Les déchets ramassés en 3 heures - une bonne soixantaine de kilos dont 2 poêles à frire, une grille à barbecue et une grosse bonbonne de gaz  ! - ne sont que la face visible de la pollution solide qui entache les étangs de la Minière. Les principaux dépôts de détritus sont situés sur les parkings et le long de la RD91 (en contrebas de celle-ci où la forêt est malheureusement jonchée d'ordures lâchées par les automobilistes). Toute l'année l'ONF intervient 2 fois par semaine pour un ramassage de sorte que la forêt puisse avoir l'air propre. Cela reste malgré tout insuffisant et l'état de la forêt de la Minière et plus généralement celui de la forêt domaniale de Versailles est symptomatique des forêts péri-urbaines qui souffrent de la proximité des grandes villes.

Galerie de photos ici.

Réponses de la SGP à la 2éme série de questions de l'ASEM

Alleluia !!
La SGP vient de publier - enfin! - ses réponses à nos questions datant de fin juin.
Et encore s'agit-il de la 2éme série de nos questions! Ils auraient - parait-il - simplement "égaré" la 1ére série...,
Pour rappel:
la 1ére série de nos questions concernent la raison pour la quelle le tracé direct vers Satory (qui était initialement une simple variante) par les étangs en souterrain avait été retenu par la SGP au détriment du tracé en contournement (qui était initialement le cas de base)
la 2éme série de questions est plus technique: elle s'intéresse aux impacts (bruit, travaux, empiétement) du creusement du souterrain sur le site classé.

Questions-Réponses à retrouver ici rubrique PROJET (TRACE/ETUDES/TUNNEL/CALENDRIER)

L'ASEM va rédiger dans les prochains jours sa position officielle sur la LIGNE 18.

Ligne 18: le jeu des Questions-Réponses est débile. L'ASEM est énervée !

Suite aux 3 Questionnaires envoyés fin mai - début juin à la SGP (Société du Grand Paris) par l'ASEM, nous venons - enfin! - de recevoir 2 réponses. Il en manque toujours une (questions posées le 4 juin). Enervant. 
En plus, nos Questions-Réponses ne paraissent pas sur le site de la SGP alors que nous l'avions demandé. Re-énervant.
Enfin, cerise sur le gâteau, les réponses viennent de Polichinelle. Autrement dit, l'ASEM peut toujours poser ses questions, la SGP donnera ses réponses ..... et les 2 n'ont rien à voir!

Florilège:

Q (ASEM): Le Grand Paris saura-t-il lutter contre le réchauffement climatique et respectera-t-il l'objectif du facteur 4 (réduction par 4 des GES) d'ici 2050 ?
R (SGP): Le réseau de transport du GPE permettra de réduire les émissions de GES à l’horizon 2050 et contribuera aux efforts pour atteindre les objectifs de réduction des émissions (facteur 4).
Mais la vraie réponse se trouve dans la question suivante 10 lignes plus loin: diminution des GES dues au transport routier d’environ -1,5 à 2 % à l’échelle de l’Ile-de-France.

Autrement dit la SGP se prend les pieds dans le tapis et confirme que le métro automatique ne diminuera pas le niveau de pollution ( à 2% prés) actuel de la région qui est déjà à un niveau dramatiquement élevé. On peut en déduire que le GPE est un obstacle réel au Facteur 4 !

Autre exemple: 

Q (ASEM): d'un point de vue environnemental, n'aurait-il pas été plus respectueux d'enterrer complètement toute la ligne 18 (en référence aux 14km de viaduc) ? 
R (SGP): Le tracé en viaduc présente l'avantage d'être parfaitement compatible avec la ZPNAF (les Terres Agricoles du Plateau de Saclay sont protégées)

Fallait y penser! la SGP soutient que les (affreux) pylônes en béton érigés tous les 20m sur 14km feront moins de dégât que des puits d’accès disposés tous les 800m....sans parler des trains qui débouleront toutes les 3 minutes en pleine campagne agricole protégée...trop fort!!

Bon, assez joué aux billes. Qu'on nous adresse un véritable interlocuteur à la SGP et on pourra (peut-être) se calmer.

Voir Q-R complet en onglet Dossier CDT Ligne 18.

L'ASEM à Associations en Fête de Guyancourt le 12 Septembre

L'ASEM a eu le plaisir de vous accueillir le samedi 12 Septembre de 10h30 à 18h au Gymnase des Droits de l'Homme à Guyancourt pour ASSOCIATIONS en FETE.

L'occasion nous a été donnée de parler des enjeux pour les étangs de la Minière en particulier et pour notre environnement en général pour les prochaines années. Projet de la Ligne 18 (métro automatique passant sous les étangs), projets de constructions sur la Petite Minière, menace d'urbanisation des terres agricoles à l'ouest de la RD91. Le quartier sera profondément bouleversé. Le Projet du Grand Paris est en marche, et s'il en va de la compétitivité de la France et de sa place dans le concert économique international, c'est aussi notre environnement qui en souffrira. L'ASEM remercie tous les amoureux de la nature et des étangs de la Minière pour leur confiance.

"La Minière Maraîchère" lance son FORUM CITOYEN le 7 Novembre.

Ce Collectif créé à l'initiative de l'ASEM et regroupant diverses Associations de défense de la Nature - DEDALE, ALTERNATIBA, LPO, APACH et ASEM - se bat pour élaborer un projet d'agriculture et de maraîchage durable sur les 20 hectares de la Petite Minière. Rappelons que ces terres agricoles actuellement propriété de l'INRA ne sont pas protégées par la ZPNAF (Zone de Protection Naturelle Agricole et Forestière) et risquent par conséquent d'attirer les promoteurs immobiliers.
Un projet durable basé sur les circuits-courts (implanter une AMAP en est une illustration) est en cours d'élaboration par le Collectif.
Celui-ci organise le 7 novembre prochain à la maison de quartier MENDES FRANCE un FORUM CITOYEN au cours duquel chacun sera libre de s'exprimer et d'apporter ses idées.

La Minière Maraîchère: http://zonelibre.info/laminieremaraichere/

TERRE & CITE remporte 1.2 M€ pour valoriser les espaces agricoles du plateau de Saclay !

Cette nouvelle est autant exaltante qu'inespérée.
Et elle nous concerne car le plateau de Saclay s'étend jusqu'à Guyancourt et les espaces agricoles de la Petite Minière.
Les 20 ha de terre à l'ouest de la RD91 que le Collectif "la Minière Maraîchère" défend âprement peuvent à présent faire l'objet de subvention si le projet est bien ficelé.
En savoir plus.
  

La Ligne 18 fait grincer...

Vu à Chateaufort sur la RD 36.

La Ligne 18 est prévue sur 14km totalement en aérien à 12m de hauteur entre Palaiseau et Voisins-le-Bretonneux. Complétement impensable pour les riverains et pour tous ceux qui souhaitent préserver l'environnement de cette région agricole. L'alternative en souterrain coûterait 250 M€ de plus (millions d'euros). L'ensemble du projet Ligne 18 est estimé à 2300 M€ (2.3 milliards d'euros).

Vandalisme aux étangs de la Minière

Voir Rubrique Actualités.

Lettres de l'ASEM à la Société du Grand Paris.

Suite à la Concertation Publique qui s'est déroulée en mai et juin sur Versailles, Gif, Guyancourt et Magny, l'ASEM a envoyé une série de questions à la SGP concernant la LIGNE 18, la raison du choix du tracé, l'impact des travaux sur les étangs, l'impact de la Ligne elle-même quand elle sera en fonctionnement.
Voir les courriers en rubrique Dossiers CDT et Ligne 18.

L'ASEM est CONTRE le tracé sous les étangs et souhaite l'adoption de la variante (contournement des étangs, 1 gare supplémentaire aux Sangliers), soutenue également par la CASQY et la Ville de Guyancourt.

Attention: si les JO 2024 (Jeux Olympiques) sont organisés à PARIS (candidat officiel depuis le 23 juin 2015), tous ces projets seront boostés par cette nouvelle échéance ! une belle bagarre en perspective entre la SGP et les associations...

1ére banderille du Grand Paris plantée aux étangs (forage géotechnique à l'étang du Val d'Or)

La Ligne 18 du Grand Paris Express par les Etangs de la Minière !

L'EPPS (Etablissement Public Paris Saclay) a annoncé le 12 mai à Versailles lors d'une réunion publique que la LIGNE 18 du métro automatique du GPE passera bien par les étangs de la Miniére !
2 nouvelles gares seront créées: une 1ére située sur les anciens établissement THALES à Guyancourt; la 2éme située sur le plateau de SATORY coté Versailles. La liaison entre les 2 gares fera 3900m et comportera 4 puits d'accés, placés à 800m environ les uns des autres. Le tunnelier attaquera les travaux par SATORY en 2024 pour une durée de 15 mois environ (10m par jour). Profondeur sous sol 15m. Diamétre 10m. Mise en service de la Ligne en 2030.
Un calendrier anticipé est probable si les JO de 2024 ont lieu à PARIS !

L'autre tracé (défendu par l'ASEM) comportant 2 gares à Guyancourt et contournant les étangs est abandonné.

L'ASEM est consternée par cette décision.

Car si l'impact direct de la Ligne 18 en souterrain sera en principe limité malgré tout à la durée des travaux et aux 2 puits d'accés en lisiére de forêt, l'impact indirect sera beaucoup plus dévastateur (urbanisation des quartiers sur le tracé, validée par le CDT dont la Commission d'Enquête vient de  rendre un Avis Favorable).

Nos actions d'information, de sensibilisation et d'interpellation des pouvoirs publics ne font que commencer.

Prochaine réunion publique à Guyancourt à ne pas manquer: Mercredi 27 Mai sur la Ligne 18 et la nouvelle gare SQY Est.

La Ligne 18 sous la Minière: un désastre pour les étangs ?

L'EPPS a rendu un rapport important sur la plannification du Grand Paris Express.
On y apprend que l'option prioritaire sur SQY est la voie directe entre la nouvelle gare (ancien site THALES) de Guyancourt et celle de Satory.
La ligne traverse les étangs de la Minière en souterrain.
Est-ce un désastre pour les étangs ?
Dans quelle mesure les travaux impacteront-ils sur la nature et ce site classé ?
Le tunnelier creusera sur 3.9 km. Doit-on s'attendre à la sarabande des camions de déblaiements pendant des années sur la RD91 ? et par la suite, comment éviter l'étouffement et l'intoxication des étangs pris en tenaille entre le plateau de Satory où s'érigera une ville nouvelle et le quartier de Villaroy et de la Petite Minière où s'implanteront à leur tour des milliers de logements et de bureaux ?
Réunion Publique prévue à Guyancourt le 27 mai.

Tous contre les ravages du CDT

Le CDT, nouveau roman d'épouvante pour les écolos, vient de sortir!
L'ASEM s'insurge..
En affichage sur tous les panneaux aux étangs:

FORÊT ET ÉTANGS DE LA MINIÈRE EN DANGER

• TRAVERSÉE DE LA MINIÈRE PAR LA LIGNE 18 DU GRAND PARIS EXPRESS
• CONSTRUCTION DE 5000 LOGEMENTS ET 300.000 M² DE BUREAUX ET COMMERCES SUR LE PLATEAU DE SATORY
• CONSTRUCTION DE 3000 LOGEMENTS ET 250.000 M² DE BUREAUX ET COMMERCES DANS LE QUARTIER ENTRE VILLAROY ET LE HAMEAU DE LA MINIÈRE
• DÉCLASSEMENT EN ZAD DES TERRES AGRICOLES DE LA PETITE MINIÈRE À L’OUEST DE LA DR91
• TRAVERSÉE DES TERRES AGRICOLES À L’EST DE LA RD91 PAR UNE NOUVELLE ROUTE RELIANT LA RD91 À LA RD938

Ce sont les projets inscrits dans le CDT (Contrat de Développement Territorial) pour les 15 prochaines années.

Ces projets, s’ils se concrétisaient, mettraient à mal les étangs de la Minière et la Haute Vallée de la Bièvre pourtant classées au PATRIMOINE NATUREL depuis la loi du 7 JUILLET 2000. 

Ces projets se moquent de la protection des Terres agricoles à l’est de la RD91, pourtant obtenues lors de la ZPNAF de 2013.

C’est toute la Forêt Domaniale de Versailles qui est mise en grand danger par le Plan du CDT. 

L’ASEM considère que ces projets sont inacceptables compte-tenu du classement de la Vallée et des Terres Agricoles et propose des solutions pérennes.

AVEC L’ASEM, DÉFENDONS ENSEMBLE LES ETANGS DE LA MINIÈRE ET NOTRE ENVIRONNEMENT !

EXPRIMEZ VOTRE DÉSACCORD AUX PROJETS DU CDT À L’ADRESSE SUIVANTE :

pref-dre-cdt@yvelines.gouv.fr

Le CDT programme la MORT LENTE pour les ETANGS de la MINIERE

Le CDT (Contrat de Développement Territorial) de SQY-Versailles a été soumis à enquête publique ce mois-ci.
Les projets sont stupéfiants pour la Ville et mortels pour les étangs et la forêt domaniale de Versailles.
Nous sommes consternés!
L'ASEM a rédigé son avis et l'a soumis au Commissaire-Enquêteur.
En voici le contenu:

Objet : CDT – Projets sur Guyancourt et Satory

L’ASEM remet l’avis suivant au commissaire-enquêteur du CDT vendredi 27 février 2015.

Projet 1.1 Versailles Satory 5,000 logements et 300,000m² locaux d’entreprises sur un territoire de 300 ha

L’aménagement de ce territoire situé en plein cœur de la forêt domaniale de Versailles, au bord du site naturel classé de la Vallée de la Bièvre a un très fort risque d’impact sur l’environnement naturel à protéger. L’ASEM exprime ses réserves sur ce projet et souhaite qu’une étude plus précise démontre que le projet n’affectera pas l’espace naturel grâce à la mise en place de mesures adaptées. D’autre part, l’ASEM exprime ses doutes sur la cohabitation durable de 5000 logements et 300,000m² de bureaux sur un si petit espace et souhaite que les chiffres soient réellement revus à la baisse. Comparaison :

	Superficie	Activités		Logements		Activités et Logement
Quartier de La Défense	1400 ha	3,700,000 m²	2,600 m²/ha	8,000	5.7 /ha	2,860 m²/ha
Satory	300 ha	300,000 m²	1,000 m²/ha	5,000	17.0 /ha	1,830 m²/ha

Franchement, est-ce bien raisonnable ?

Projet 1.8 Guyancourt Ville – En réalité s’étendant du quartier de Villaroy au hameau de la Minière.

·         La Ligne 18 du GPE : il s’agit de la variante passant le long de la RD 91 et traversant la vallée de la Bièvre classée au patrimoine naturel depuis la loi du 7 juillet 2000. Il s’agit d’un non-sens et d’une atteinte à un droit inaliénable. Toutes les associations de protection de l’environnement feront face à ce projet inique. Nous soutenons l’autre variante (contournement).

·         Aménagement sur la petite Minière : comme indiqué sur le CDT, la petite Minière (partie ouest de la RD 91) est identifiée au PLU en espace agricole. Il est primordial pour la sauvegarde de l’environnement qu’elle conserve ce caractère. Nous rappelons que la petite Minière est occupée par l’INRA, placée en bordure de la forêt de la Minière et doit être protégée de l’urbanisation. Les associations de protection de l’environnement veilleront à ce que le nouveau PLU conserve le caractère agricole de cet espace fragile. Voir la proposition de l’ASEM plus bas.

·         Au total le projet entre Villaroy et la Petite Minière prévoit 2,880 logements et 250,000m² de bureaux ! ce n’est plus un nouveau quartier, c’est une ville qu’on veut construire !

Enfin, il a été identifié (pièces 4a et 4b) un projet routier appelé « barreau RD938 / RD91 » et traversant l’espace agricole à l’est de la RD91 pourtant classé terres agricoles et sanctuarisé par le ZPNAF de 2013. De la même façon, ce projet est irrespectueux des décisions souveraines entérinées et n’a pas lieu d’exister.

Proposition de l’ASEM sur les terres agricoles à l’ouest de la RD91 et sur la Petite Minière :

Après études et divers contacts, l’ASEM a constaté qu’il y avait sur Guyancourt un réel besoin et une demande pour des cultures de proximité maraichères et fruitières. Des AMAP implantées sur la ville sont à la recherche de terrains agricoles mais aussi à la recherche de cultivateurs (maraichers, arboriculteurs)  pour répondre aux nombreuses demandes des habitants.

L’ASEM demande que tout l’espace agricole à l’ouest de la RD91 et sur la Petite Minière soit réservé de façon pérenne et dans les meilleurs délais à cette activité. L’ASEM demande également que des aides soient apportés pour la réalisation de ce projet.

Lors des ateliers du PLUI, il nous a été indiqué que cela était possible.

L’ASEM se propose d’œuvrer à la réalisation de ce projet.

Cartes:

La 1ére carte montre les projets sur SQY dont la Ligne 18, le barreau RD938/RD91, le nouveau quartier Villaroy - la Petite Miniére et Satory.

La 2éme carte est un zoom sur le projet Villaroy – la Petite Miniére

Tout savoir sur le CDT ici

L'ONF accélére les coupes!

Rien moins que 15 parcelles feront l'objet de coupes cet hiver, dont 1 coupe définitive (parcelle 80 4.6 ha) et 4 coupes de recépage (parcelles 29, 55, 57 et 58, total 15,5 ha) !

Le programme des coupes pour l'hiver 2014-2015 est ici.

45 hectares sont donc concernés cet hiver par l'abbatage:

• 25 ha en coupes d régénération
• 20 ha en coupe de recépage ou définitive

Le bois est vendu à des exploitants privés.

Dur hiver hiver pour la forêt de la Miniére....

C'est fait!

Le vieux hangar de l'ancienne base nautique a disparu!
C'est fait et on n'en parle plus.
Les engins ont tout rasé et recouvert le terrain de matériaux divers et peu compatibles avec de futures plantations...wait and see comme ils disent à l'ONF.